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Le métier prometteur de " fundraiser "

A quelques jours d'intervalle, deux établissements d'enseignement supérieur parmi les plus prestigieux d'Europe ont annoncé des levées de fonds importantes : la Saïd Business School de l'université d'Oxford, que son mécène principal, Wafic Saïd, vient de doter de 25 millions de livres (31,5 millions d'euros), et la toute nouvelle Ecole d'économie de Toulouse qui, via sa Fondation Jean-Jacques-Laffont, a récolté quelque 33 millions d'euros auprès d'entreprises et de grands donateurs. Plus qu'une coïncidence, la nouvelle montre que la pratique du " fundraising " - ou " collecte de fonds " - si chère aux Anglo-Saxons, arrive en France, au-delà du cercle traditionnel des associations caritatives et des organisations non gouvernementales (ONG).

Institutions culturelles, organismes de recherche, établissements de santé, universités, écoles : face au désengagement de l'Etat, tous sont à la recherche de nouvelles sources de financement, et le fundraising est l'une des réponses possibles. D'autant que le législateur a multiplié les dispositifs facilitant ce type de démarche. Les déductions fiscales instaurées par la loi sur le mécénat de 2003 font ainsi de la France le pays le plus incitatif d'Europe en la matière. " Cette loi est un vrai tournant, elle a fait sauter plusieurs verrous fiscaux, administratifs et psychologiques ", estime Francis Charhon, directeur général de la Fondation de France. Résultat, en 2007, une fondation est née tous les trois jours ! En six ans, leur nombre a bondi de 30 %. La loi sur le travail, l'emploi et le pouvoir d'achat (TEPA) votée l'année dernière a encore renforcé l'incitation au don auprès des individus redevables de l'impôt sur la fortune (ISF). Enfin, la loi sur les libertés et responsabilités des universités (LRU) d'août 2007 a rendu possible la création de fondations par les universités. Une bonne quinzaine d'entre elles ont d'ores et déjà annoncé un projet de fondation pour récolter des dons, à la suite des pionnières Lyon-I et Clermont-I. " Depuis cinq mois, je passe mon temps à rencontrer des entreprises ", raconte Philippe Dulbecco, président de l'université d'Auvergne. " Je vais devoir embaucher quelqu'un pour mener notre campagne de collecte. " Les professionnels du fundraising voient ainsi un tout nouveau terrain de jeu s'ouvrir à eux. " Mais le volant de personnes expérimentées est plus faible que le nombre de structures amenées à collecter ", estime Yaële Afériat, de l'Association française des fundraisers (AFF), qui multiplie les sessions de formation sur la collecte de fonds. " L'édition 2008 consacrée à l'enseignement supérieur, à la recherche et à la culture a rassemblé 250 participants, contre une centaine il y a trois ans. A l'avenir, nous allons devoir dissocier les thèmes abordés... "

(source: citycampus.fr)

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Emploi des jeunes diplômés

Les métiers qui attendent les débutants

C’est une bonne année qui s’annonce pour l’emploi des jeunes diplômés, de bac+ 2 à bac + 5. Revue de détail des métiers qui recrutent le plus.

C’est l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) qui l’assure : 44 000 à 49 000 postes de cadres seront proposés cette année aux jeunes diplômés. C’est tout bon pour les futurs ingénieurs et les étudiants qui s’apprêtent à quitter leurs écoles de commerce. Mais les entreprises se tournent de plus en plus vers les diplômés des universités.

Ceux qui sortent des IUT, des BTS et des licences professionnelles bénéficieront aussi de belles opportunités. Surtout ceux qui ont misé sur les spécialités industrielles et scientifiques.




La palme aux commerciaux.

Le métier qui recrute le plus reste celui de commercial et de technico-commercial, dans les banques, les assurances, les entreprises, la grande distribution. Postes proposés : manager de rayon, acheteur, merchandiser…


Ingénieurs : un carton pour la re- cherche-développement. Les 28 000 ingénieurs qui vont sortir des 250 écoles n’ont pas de souci à se faire pour leur premier emploi. C’est le secteur de la recherche- développement qui fait un carton avec un nombre record d’embauches. Les emplois se trouvent dans l’industrie, mais aussi dans les sociétés d’études et d’ingénierie comme Alten et Altran. Le secteur de l’énergie est aussi en pleine expansion : pétrole, gaz, nucléaire, éolien, solaire. Mais les ingénieurs se placent bien aussi dans les banques, la finance, le marketing, les achats, le commerce.


L’informatique : toujours un gros appétit. Malgré un ralentissement des recrutements, l’informatique recrute de nombreux débutants : d’abord des ingénieurs à bac + 5, mais aussi des administrateurs de réseaux et des développeurs à bac + 2 et bac + 3.

(source: ouest-france)

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Les commerciaux, chouchous des entreprises...

Les vendeurs sont toujours aussi recherchés. Qu'ils soient jeunes diplômés ou expérimentés.

« Souvent, lorsqu'ils sor­­tent de leur cursus de ­for­mation, les jeunes diplômés d'écoles de commerce ignorent tout des métiers commerciaux » , constate Isa­belle Arnaud, responsable recrutement et mobilité chez Sagem communications. At­tirés par le marketing, ils ont une image étriquée des métiers de la vente.

Pourtant, la palette de postes commerciaux est bien plus riche qu'on ne le croit. « Chez LCL, les métiers varient beaucoup entre les conseillers d'accueil, les conseillers particuliers, professionnels, ou encore les commerciaux qui travaillent pour une clientèle entreprises », explique Anne Rayon, responsable recrutement.

Chez Sagem Communications, les opportunités de postes vont de la vente directe en BtoB (PME-PMI et grands comptes), à la vente indirecte via des distributeurs, auprès des centrales d'achats en grande distribution et des opérateurs télécoms en France et à l'international.

Tous ces métiers exigent en revanche un même ta­lent : l'envie de vendre et l'esprit « commercial ». « Nous cherchons avant tout des gens qui ont le goût de la négociation », poursuivent les recruteurs.

Les diplômes le plus demandés ? « Nous recrutons à bac + 2, type BTS ou IUT minimum. Nous sommes passés d'un marché de “produits” à un marché de “services à valeur ajoutée”. Avoir une première expérience professionnelle, même un stage, est donc un plus », précise Véronique Jamet, responsable du recrutement de la force commerciale chez Toshiba TFIS.

Chez Options, entreprise de location de matériel pour des réceptions, on recrute beaucoup de BTS force de vente, mais aussi des bac + 4 ou 5. Une première expérience dans l'évé­nementiel est-elle néces­saire ? « Nous voulons être plus audacieux que ça, et ouvrir la porte à des profils variés. Ce qui nous importe, c'est que la personne corresponde à la culture de l'entreprise, très familiale », avoue Emmanuel Peltereau-Villeneuve, directeur des ressources humaines.

Chez Habitat, l'attachement à la marque est aussi un atout dans le recrutement : « les gens qui postulent chez nous aiment nos produits et sont attachés à l'image de marque Habitat », pense Anne du Manoir, DRH.

(source: le Figaro)

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Le Salon de l’Environnement et des métiers durables

Du 12 au 14 juin, le Palais Brongnart va accueillir 100 professionnels invités à exposer leurs solutions pour concilier protection de l’environnement et croissance économique.

Durant les deux premiers jours, consacrés aux industriels et aux collectivités, le salon fera l’objet de conférences et se présentera sous la forme d’un circuit où 8 secteurs d’activités sont mis en relation: l’énergie, les déchets, le transport, le BTP, l’eau, l’agriculture, la chimie, et les services.

Le 14 juin sera une journée grand public, prenant la forme cette fois d’un parcours «formations» et proposant aux visiteurs un pôle «emploi de l’environnement», pour donner des réponses concrètes aux particuliers qui s’intéressent au développement durable.

Le salon, dans un souci de cohérence, s’engage à compenser les émissions de CO2 générées par l’événement, grâce au programme Action Carbone.

(source: toogezer.com)

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3ème rendez-vous de l’Emploi et de la Formation” - Métiers du commerce dans les filières agro-alimentaires et agro-environnementales.

TECOMAH et ManageriA vous invitent au “3ème rendez-vous de l’Emploi et de la Formation” dédié aux métiers du commerce dans les filières agro-alimentaires et agro-environnementales.

Nous pensons que la formation et l’emploi doivent être étroitement liés pour assurer le développement des compétences nécessaires aux mutations de notre environnement. Pour la troisième année consécutive, nous voulons contribuer à la mise en relation des entreprises des filières agro-alimentaires et agro-environnementales avec les candidats issus de nos formations commerciales et managériales. Nous souhaitons, à l’occasion de cet évènement, faire vivre la valeur ajoutée de nos entreprises et soutenir leur développement en leur permettant de recruter de futurs collaborateurs.

Etudiants, votre avenir vous attend, venez rencontrer votre entreprises

(source: www.reseau-tee.net)

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Zoom métier : technicien supérieur après-vente

Habile à communiquer avec les clients, organisé et apte à manager unu équipe, le technicien de service après-vente doit être polyvalent !

Il travaille au contact direct du client et créé un lien humain avec l’atelier. Dans un premier temps, il se charge d’accueillir le client, de déceler ses besoins et lui propose différentes prestations.
En évoluant, il peut acquérir des fonctions managériales. Chef d’atelier ou d’unité, il encadre et gère une ou plusieurs équipes d’intervention de l’atelier.

(source: autorecrute.com)

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Assistance : l’emploi va bon train

Moins connu des jeunes diplômés, le domaine de l’assistance crée pourtant de nombreux emplois. Selon, le SNSA - syndicat national des sociétés d’assistance -, chargé d’assurer la représentation et la promotion de la profession, 15 000 professionnels seront mobilisés cet été.

Parmi ces effectifs, on dénombre 5 815 permanents dont 63% de femmes et 23% de cadres, 500 CDD, 2 000 saisonniers et 7 000 prestataires travaillant au nom des sociétés d’assistance (garagistes, médecins urgentistes, chauffeurs de taxi…). « Notre profession est en constante évolution et nos besoins en recrutement augmentent par conséquent. On observe une progression de 7% des effectifs par rapport à 2006, et chaque année le nombre ne cesse d’être revu à la hausse », annonce Nicolas Gusdorf, président du SNSA. Et les opportunités sont nombreuses.

(source: studyrama.com)

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Conseiller en image, un métier d’avenir… y compris en Ariège

Venue des Etats-Unis, cette activité répond à une demande très forte dans une société où l’image prend une importance capitale.

Le conseiller en image optimise les caractéristiques physiques du client ou l’image de l’entreprise qui le consulte. Il mène des entretiens individuels pour aider son client à mettre en accord sa personnalité et son apparence.

Il utilise pour cela plusieurs savoirs, techniques en coiffure, maquillage, morphologie, mais aussi en colorimétrie (la coordination des couleurs dans le maquillage, les cheveux, les vêtements, les accessoires...) et psychologie.

Les agences de conseiller en image fleurissent dans les villes mais sont plus rares en milieu rural…

Depuis le mois de mars Agnès Faroux, compte bien renverser la tendance, en s’installant en tant que conseillère en image à Lagarde, un petit village de près de deux cents âmes.

Cette jeune mère de quatre enfants, a décidé de mettre ses compétences au service de tous ceux et celles qui ont besoin de conseils pour mieux se sentir dans leur vie privée ou professionnelle.

Après des études de psychologie, membre de l’AICI (Association of Image Consultants International), formée par Sylvie Sanchez, professionnelle du relooking, Agnès possède de sérieux atouts dans ce métier où l’écoute de l’autre prévaut.

«Il faut prendre la personne dans son ensemble, cerner sa psychologie, je lui donne ensuite des bases par rapport à ce qu’elle est afin qu’elle apprenne à se mettre en valeur, qu’elle retrouve une certaine harmonie …

Je m’adresse à tout le monde, de l’adolescent à la personne âgée, de la personne en recherche d’emploi à  la jeune mariée ou la femme enceinte pour leur redonner confiance …

Je souhaite développer mon activité en direction des personnes malades (atteintes du cancer), des accidentés de la route… tous ceux qui ont besoin d’être aidés ou  rassurés»

Mais attention, il ne s’agit pas de faire du «relooking de foire», c’est du sérieux… l’intervention du conseiller en image comprend d’abord un bilan personnalisé, en fonction de la personnalité et du mode de vie de la personne concernée.

«Les femmes mettent plus longtemps à franchir le pas, il y a des blocages dûs souvent aux relations au père, à la mère, à leur vécu… mais quand elles l’ont franchi, leur attente est plus importante… c’est gratifiant pour moi»

Ensuite Agnès Faroux intervient sur la «gamme des couleurs»,  une technique, qui en disposant des tissus de différentes coloris près du visage, permet ainsi de déterminer et de cibler les couleurs qui conviennent le mieux.

(souce: ariegenews.com)

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